Pour Alsa’Sports, l’ancien défenseur des Girondins de Bordeaux, Frédéric Guilbert, a été questionné sur les offres qu’il a eues l’été dernier.

« La vérité, c’est que j’ai toujours voulu partir d’Aston Villa cet été. Ça ne s’est pas fait au Racing pour diverses raisons. J’ai eu une opportunité qui était Angers en fin de mercato. Ils ont fait une proposition, on a fait une contre-proposition, ils ne sont jamais revenus, et au final ils sont allés sur Yan Valery. Ensuite, j’ai eu l’Olympiakos en prêt. J’ai aussi regardé le nombre d’arrières droits qu’ils avaient, le fait qu’il y avait Kenny Lala… Et j’ai trouvé qu’ils me prenaient un peu de haut : ‘qu’il vienne s’entrainer avec nous, et s’il est bon il jouera’. Ce n’est pas trop ma mentalité… Je voulais du plaisir. J’ai envie de me relancer, c’est un ensemble, un club où il y a aussi un côté familial, c’est important ».

Est-il surpris qu’il n’y ait pas eu plus de clubs français qui se positionnent sur lui ?

« Je sais que j’ai le niveau, je sais que je peux jouer. Maintenant, il y a des choses qui ne sont parfois pas explicables. Il y a des chiffres qui sont sortis dans la presse sur des montants de transfert, qui sont un peu… Voilà, c’est comme ça. Je suis là, je m’entraine. Les jeunes (d’Aston Villa, avec qui il s’entraine) n’y sont pour rien, donc leur piper leur séance, ça n’arrange personne. L’objectif est de rebondir, d’être prêt pour janvier. Je n’attends que ça. J’ai un préparateur physique, je travaille pour être en forme ».

L’objectif étant évidemment de sortir de là en janvier.

« J’espère que ça va se débloquer en janvier, je ne peux de toute façon pas rester éternellement dans une situation comme ça. On étudie les possibilités, que ce soit un prêt ou un transfert. On va étudier la chose. On n’est pas fermé à un prêt avec une option d’achat en cas de maintien par exemple. Toujours est-il qu’il faut que je joue, je dois me relancer, c’est le plus important. Mais ce ne sont pas des choses qui font peur ».

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