Sur AquiTV, Bruno Fievet a répondu au fait que lors du rachat des Girondins de Bordeaux il était considéré comme un “adversaire” de Gérard Lopez, et qu’aujourd’hui il contribue à faire évoluer le FCGB en étant au Comité 1881.

« Les projets étaient rivaux, mais les hommes ne sont pas rivaux. C’est ce qu’il faut noter. Souvent, l’année dernière, on a voulu nos opposer, on disait que Fievet et Lopez ça ne pouvait pas marcher ensemble. On n’a pas forcément les mêmes idées sur tout, mais je dis qu’un président, c’est comme un entraineur, quand ça gagne il a raison, et quand ça perd il faut remettre les choses pour voir ce qui ne va pas. Gérard Lopez, j’ai la plus grande admiration pour lui parce que c’est quelqu’un de brillant professionnellement, qui contrairement à beaucoup de Président n’a pas besoin des Girondins pour exister. Il y a beaucoup de Présidents qui existent dans la vie parce qu’ils sont présidents de clubs de foot. Lui n’a pas besoin de ça. Il le vit comme une passion. Il est aussi très bien entouré. On a critiqué Admar Lopes, mais c’est vraiment quelqu’un de très bien, que j’aime particulièrement. Je m’entends très bien avec lui. Après, il n’est pas français, il a toujours un peu peur de s’exprimer, il est aussi un peu introverti et timide peut-être, mais c’est quelqu’un qui connait très bien le football et fait très bien son travail. Et puis il y a Thomas Jacquemier à la direction générale, qui est vraiment quelqu’un de fiable, sur qui on peut compter, qui défend les Girondins. C’est quelqu’un qui reconnait qu’il ne sait pas faire localement car ce n’est pas quelqu’un de local, mais il s’appuie justement sur les gens d’ici ».

Retranscription Girondins4Ever