Nisa Saveljic : “C’est l’investissement dans le centre de formation qui est le plus important, c’est ça qui a surtout sauvé le club de Bordeaux”

    Sur France Bleu Gironde, Nisa Saveljic, ancien défenseur des Girondins et de Sochaux, s’est exprimé sur le fait que David Guion ait dédramatisé la rencontre face à Sochaux car il restera 11 autres matchs

    Vous savez, il restera 11 matchs. Tous les matchs ça reste comme une qualification de toute façon donc à chaque match tout le monde sera sous pression. Donc la déclaration de l’entraîneur… Tout le monde est sous pression donc chaque match, celui-là compris, va être important mais pas capital. Il restera encore 11 matchs donc si chaque équipe est vraiment performante, comme c’est le cas avec Bordeaux et Sochaux, ça risque quand même d’être un suspense jusqu’à la fin. Ça me rappelle un peu le dernier match, quand on est Champions de France devant Marseille en 1999. Ça va être un peu comme ça avec la préparation psychologique et la performance de chaque équipe jusqu’à la fin. Ça va être intéressant. Un peu comme le PSG – Bordeaux de 1999 ? Exact, ça va être un peu comme ça, et même encore plus intéressant parce qu’il y a trois équipes présentes pour jouer la montée en première division. Bordeaux, je le répète encore, je suis un peu surpris de tout ce qui est arrivé au club, avec les supporters, etc… Là maintenant, ça prouve qu’il y a trois centres de formation remarquables en France, c’est quelque chose d’important. Ça prouve que c’est l’investissement dans le centre de formation qui est le plus important, c’est ça qui a surtout sauvé le club de Bordeaux. L’année avait été très difficile avec une période pas simple. Jusqu’à la fin ça va être un parcours vraiment très important et on va voir comment ça va se passer.”

    Retranscription Girondins4Ever

    Du lundi au vendredi, sur France Bleu Gironde, retrouvez l’émission 100% Girondins, animée et présentée par Dominique Bourdot à partir de 18h30. Vous pouvez retrouver le podcast de l’émission quelques minutes après la fin de celle-ci : ICI.