Pierre Husson : “L’humilité ? En même temps, on est les Girondins de Bordeaux et on est en Ligue 2. Je trouve ça bien de montrer qu’on est là”

    Sur France Bleu Gironde, dans l’émission 100% Girondins, Pierre Husson, supporter de longue date des Girondins de Bordeaux et co-fondateur de l’application Rematch, est revenu sur l’humilité bordelaise, un mot qui a été évoqué plusieurs fois cette saison.

    L’humilité ? En même temps, on est les Girondins de Bordeaux et on est en Ligue 2. Je trouve ça bien de montrer qu’on est là. Pour la partie pression, les joueurs ont dû se dire : ‘on a le meilleur effectif de Ligue 2, il faut qu’on assure’. Mais en même temps, il y a une certaine image du club, surtout après les années difficiles qu’on a vécues. Là, il y a du monde au stade, le virage est tout le temps rempli, il y a un engouement qui se crée. Les supporters vont monter en Ligue 1 avec Bordeaux. Je trouve ça bien aussi, de montrer les muscles et de dire qu’on est là.”

    (Photo by Loic Baratoux/FEP/Icon Sport)

    Puis il a évoqué l’importance du capitaine Yoann Barbet :

    S’il y a une ‘Barbet dépendance’ ? Je dirais que de parler de ‘Barbet dépendance’ c’est peut-être aller un petit peu loin. Mais c’est bien de commencer à avoir des cadres qui se créent. Je trouve que c’est important dans une équipe d’avoir une colonne vertébrale et c’est quelque chose qu’on n’a pas depuis dix ans. D’avoir des joueurs qui sont là et de se dire : ‘Il est là !”. Les Diawara, Gourcuff, Chamakh… on avait la colonne vertébrale. Si Barbet peut devenir cette colonne vertébrale ou en tout cas, commencer cette structure de colonne vertébrale, je trouve ça hyper intéressant. Après, bien sûr qu’il faut toujours craindre la blessure d’un cadre, on ne peut jamais être à l’abri.”

    Retranscription Girondins4Ever

    Du lundi au vendredi, sur France Bleu Gironde, retrouvez l’émission 100% Girondins, animée et présentée par Dominique Bourdot à partir de 18h30. Vous pouvez retrouver le podcast de l’émission quelques minutes après la fin de celle-ci : ICI.