David Guion parle de l’apport de Zuriko Davitashvili, Aliou Badji, et Dilane Bakwa

    Ce samedi, à 19 heures, les Girondins de Bordeaux se déplacent à Valenciennes, pour le compte de la 33ème journée de Ligue 2 2022-2023. A cette occasion, avait lieu aujourd’hui la conférence de presse au Haillan.

    Le coach bordelais, David Guion, a répondu à la question de savoir s’il ne faisait pas jouer Dilane Bakwa, était-il ainsi obligé de faire jouer Aliou Badji ?

    « C’est vrai que Dilane nous amène la profondeur. Quand il n’est pas là, on est un peu plus en difficulté. Mais je trouve que Zuriko (Davitashvili) y est bien arrivé lundi face à Grenoble, et notamment sur le but. Il a fait quelque chose d’intéressant sur cette profondeur. Il est capable de faire ces appels-là. C’est intéressant. Et on sait qu’Aliou, sur la dernière ligne, est aussi intéressant. C’est ce qu’on lui demande, de prendre la profondeur avec sa puissance. Encore une fois, comme je le dis à chaque fois, je chercher toujours les complémentarités. C’est important entre les pieds intérieurs, ou aller sur l’extérieur, la profondeur, les joueurs qui demandent dans les pieds… C’est une alchimie à laquelle il faut toujours, sans cesse, réfléchir ».

    Bordeaux joue en tout cas différemment avec Zuriko Davitashvili ou Dilane Bakwa ?

    « Oui, on joue différemment parce qu’on sait qu’avec Dilane, il y aura plus de débordements extérieurs quand il joue à gauche. Et quand il joue à droite, on sait qu’il va être capable de rentrer et de finaliser sur son pied gauche, et être beaucoup plus vertical. Tandis que Zuriko, quand il joue notamment à droite, il va plus écarter, et être plus sur une position de centreur, notamment quand on est en attaque placée ».

    Retranscription Girondins4Ever