Selon le quotidien sportif L’Equipe, les Girondins de Bordeaux et le club italien de la Sampdoria seraient intéressés par le profil de Farès Bousnina. Les deux clubs auraient pris des renseignements sur sa situation. En effet, il réalise une excellente saison avec les Aiglons, étant l’auteur de 12 buts et de 13 passes décisives, dans les trois catégories dans lesquelles il évolua cette année : les U17, les U19, et même la réserve en National 3.

Bordeaux lui offrirait son premier contrat professionnel.

Il s’agit d’un joueur évoluant au poste d’attaquant. Né le 13 février 2006 (17 ans) à La Seyne sur Mer dans le Var, il défend actuellement les couleurs de l’OGC Nice, là où il est formé, même s’il passa par les clubs amateurs de l’EFC Seynois et le FC Gardia. Il est également international français puisqu’il joua 3 rencontres avec les U16 (1 titularisation et 2 entrées en jeu).

Il y a quelques semaines, dans Onze Mondial, il se décrivait.

« Je joue attaquant et je fais beaucoup d’appels. Je ne décroche pas trop, je prends tout le temps la profondeur. Devant le but, je ne rate pas beaucoup et je joue des deux pieds. J’aimerais améliorer mon jeu de tête, surtout que je suis grand. Mon joueur préféré, c’est Messi pour sa technique ! Et j’aime aussi Wesley Fofana pour son agressivité. En dehors du foot, j’aime bien le basket, ça me détend. Je ne sais pas jouer mais j’aime trop faire du basket. Je fais des shoots avec mes amis, des dunks. J’aime bien sortir avec mes potes, au cinéma, à la plage. À l’école, tout se passe bien. Je passe en première STMG. On est en petits groupes, on est 6 ou 7 par classe, c’est incroyable d’étudier dans de si bonnes conditions. Les profs sont très à l’écoute, ça nous aide beaucoup. J’aime bien l’histoire, ça me cultive. J’aime apprendre sur les guerres. Si je ne réussis pas dans le foot, j’espère rester dans ce milieu, en tant que coach sportif ou coach de foot. Je veux vivre du foot. Ma phrase : « Travaille en silence ». Au début, je n’étais pas le plus talentueux, il y avait plus fort, c’est juste le travail, le travail, le travail qui a fait la différence. Je n’ai rien lâché ».