Victorien Lenu : “Echouafni a carrément dit que ce serait le match de l’année pour lui. C’est un peu surprenant”

    Sur France Bleu Gironde, dans l’émission 100% Girondins, Victorien Lenu, journaliste pour Paris-Normandie, a évoqué la belle dynamique actuelle de Quevilly-Rouen, prochain adversaire des Girondins de Bordeaux.

    Si tout va mieux car on ne joue plus rien et qu’on n’a plus de pression ? J’ai envie de dire ça oui, en tout cas c’est le signe que cette équipe ne lâche rien, d’ailleurs c’est ce que le coach a dit en conférence de presse. Il a dit : ‘Regardez nos deux derniers matchs face à Annecy et à Pau’ (match nul 2-2 et victoire 4-3). A chaque fois QRM s’est retrouvé mené au score et ils sont revenus. Mais il nous a dit : ‘Il n’y a juste qu’à regarder ces deux matchs pour voir qu’on ne lâchera rien, et je vais être vigilant au fait qu’on ne lâchera rien d’ici la fin de saison’. Ce sera donc forcément pareil face aux Girondins. Echouafni a carrément dit que ce serait le match de l’année pour lui. C’est un peu surprenant. J’ai essayé de comprendre pourquoi car au-delà du prestige des Girondins, il n’y a plus d’enjeu. Les Girondins c’est clair que c’est un gros club mais étant donné qu’il n’y a plus d’enjeu… Pour moi, il y a eu des matchs plus importants avant, en tout cas, des matchs un peu plus charnière. Mais lui considère ça comme le match de l’année, eu égard au passé de ce club, son histoire et au fait aussi que les Girondins doivent impérativement gagner pour continuer à croire à cette montée en Ligue 1. Quant à cette dynamique, oui je pense que le fait d’être un peu plus libéré, fait justement qu’il n’y a plus trop de pression donc les joueurs tentent peut-être un peu plus de choses. Ça s’explique sans doute par ça je pense.”

    Retranscription Girondins4Ever

    Du lundi au vendredi, sur France Bleu Gironde, retrouvez l’émission 100% Girondins, animée et présentée par Dominique Bourdot à partir de 18h30. Vous pouvez retrouver le podcast de l’émission quelques minutes après la fin de celle-ci : ICI.