Pour Ouest-France, l’entraineur adjoint des Girondins de Bordeaux, Denis Zanko, va retrouver le Stade Lavallois, qu’il a coaché par le passé de 2014 à 2016 en pro, puis de 2002 à 2008 en réserve (sans oublier son passage de joueur de 1984 à 1985). “C’est devenu une équipe très difficile à manœuvrer. L’état d’esprit est au rendez-vous, et surtout tout le monde est orienté vers un même objectif. Pour eux, la réception de Nîmes sera sans doute décisive”.

D’autant que ce samedi, le Club au Scapulaire devra faire face à un bloc bien regroupé, jouant le contre.

“On s’attend à un match très difficile, mais on est exposé à cela depuis pas mal de temps. Les équipes nous proposent souvent ce genre d’opposition, il n’y aura pas d’effet de surprise. Mais voilà. On est dans le vif du sujet, en haut de tableau comme en bas, sur une saison particulière avec deux montées et quatre descentes. Il y a beaucoup de matches à enjeux. Les émotions sont là… Pour nous, ça s’est décanté lors de nos oppositions directes. À Sochaux, contre Bastia, Metz… Quand on va à Sochaux, ils sont un point derrière nous. À Metz, quatre points derrière. Là, on reçoit Laval, on va à Annecy, on reçoit Rodez. Avec la chance, je le prends un peu comme ça, d’avoir de l’engouement autour de la venue de Bordeaux. On a joué dans des stades pleins. Notre histoire, ce sont des matches difficiles”.