La duel avec Marseille, son but face au PSG avec Bordeaux, le duo Blanc-Gasset… Les confidences de Souleymane Diawara

    Pour le Moneytalk, Souleymane Diawara a évoqué divers moments qu’il passa aux Girondins de Bordeaux.

    La bataille avec Marseille, lors de sa deuxième année

    « Ah oui, on se chambre tous les week-ends avec Mamad. Après, lui, il le sait, sur le terrain je n’ai pas de potes. Mes potes, c’est les onze qui jouent là, plus le banc. Frère, daron, pote, tu joues contre moi… C’est ma prime qui est en jeu (rires). Il y a eu plusieurs matches où je lui ai rentré dedans à Mamad. J’ai un match, il faut que je gagne ce match-là, voilà… Moi, je joue pour gagner ».

    Son but face au PSG en demi-finale de la Coupe de la Ligue

    « Les gens étaient surpris, mais moi, je n’étais pas surpris… C’est normal pour moi. J’étais attaquant avant de rentrer au Havre, les gens ne veulent pas le comprendre (rires). C’est Jean-Marc Nobilo qui m’a mis derrière. Bon, il a bien fait, mais j’avais encore des restes (rires). C’est à la fin du match, il n’y a plus rien à perdre, Jussiê part, et je vois Landreau… Landreau, c’est ma victime (rires). Micka il le sait, parce qu’à chaque fois que je jouais contre lui, je marquais (rires). C’était un but de fou ».

    Le duo Blanc-Gasset

    « Au niveau du management, ils savent comment te parler. Au niveau du discours, c’est les mêmes. Il n’y a pas de différence. Ils te mettent dans la tête qu’il faut toujours gagner, gagner, gagner… L’esprit de la gagne. J’ai retrouvé ça aussi à Marseille avec Didier Deschamps. Je lui avais demandé s’il avait fait les mêmes études d’ailleurs avec Laurent Blanc, parce que c’était le même état d’esprit. C’est pour ça qu’ils ont fait de grandes carrières, en tant que joueurs et entraineurs. Il n’y a pas de hasard dans le foot ».

    Retranscription Girondins4Ever