Yon Ecenarro : « Ca ne m’a pas totalement éteint, j’ai vu des choses un peu positives »

    Sur France Bleu Gironde, dans l’émission 100% GirondinsYon Ecenarro, consultant pour la radio, s’est exprimé sur ce qu’il a vu de positif lors de la rencontre entre Angers et les Girondins de Bordeaux.

    « J’ai trouvé intéressant la première demi-heure. On avait un pressing agressif et assez haut, tout comme le contre-pressing à la perte de balle. C’était vraiment nouveau, on était comme des morts de faim à courir… Mais le problème c’est que ça n’a pas toujours été efficient. Cependant, en tout cas, on y a mis de la volonté. J’ai vu quelques enchainements qui m’ont plu, mais bon, le souci c’est que tout a été contrecarré parce qu’on s’est abordé à la 34ème minute. C’est le gros problème de cette saison c’est que quand on est menés au score, on n’arrive jamais à inverser la tendance, à part contre Amiens »

    A t-il constaté un effet Albert Riera ?

    « Je dirais oui dans cette première demi-heure. Alors, j’ai l’impression – c’est drôle parce que c’est presque une compo type, de David Guion sur le papier – qu’il a voulu voir avec les mêmes hommes ce que ça donnait dans l’implication et l’animation surtout. J’ai vu un changement, cette patte annoncée, cette volonté annoncée d’aller chercher haut avec beaucoup de joueurs qui se projettent offensivement. Le résultat est implacable, tu perds 2-0, mais je n’ai pas l’impression qu’on ait à pâlir au niveau du jeu par rapport à Angers. Cependant, un peu comme contre Laval, contre Pau, on perd au final… C’est compliqué. Mais ça ne m’a pas totalement éteint, j’ai vu des choses un peu positives. Aussi les 20 dernières minutes mais le score était fait à 2-0. Evidemment, dans les points noirs, c’est l’efficacité offensive ».

    Retranscription Girondins4Ever

    Du lundi au vendredi, sur France Bleu Gironde, retrouvez l’émission 100% Girondins, animée et présentée par Dominique Bourdot à partir de 18h30. Vous pouvez retrouver le podcast de l’émission quelques minutes après la fin de celle-ci : ICI.