Malcom Bokélé : “Ça m’a vraiment fait mal, cela faisait longtemps que je n’avais pas eu mal comme ça”

    Sur France Bleu Gironde, dans l’émission 100% Girondins, le défenseur des Girondins de Bordeaux, Malcom Bokélé, est revenu sur sa rencontre face à Rodez, lui qui a remplacé Stian Gregersen après 20 minutes.

    « Je me suis très bien senti. Déjà, cela faisait plusieurs semaines que je m’entrainais bien, et le nouveau coach était content de moi. J’avais de bonnes sensations à l’entrainement, et ce n’est pas non plus mon premier match, donc je sais comment aborder les rencontres aujourd’hui. J’étais serein, tranquille »

    Il y avait cependant longtemps qu’il n’avait pas joué quand même…

    « Il n’y a pas de stress, je ne stresse pas moi. Le coach m’a dit de rentrer, j’ai mis mes chaussettes, et voilà, j’ai fait ce que j’avais à faire. On fait le plus beau métier du monde, et même sur le banc de touche je pense qu’il y a beaucoup de joueurs qui aimeraient être à ma place. Si le coach me met sur le banc c’est que je ne suis pas à la hauteur pour être dans le onze qui commence. C’est une motivation pour moi ».

    Toujours par rapport à Rodez, mais aussi le début de saison, est-ce que l’échec de la montée, a trotté dans les têtes en début de saison ?

    « Honnêtement, aujourd’hui, je n’y pense plus. Ça m’a vraiment fait mal, cela faisait longtemps que je n’avais pas eu mal comme ça, le jour du dernier match face à Rodez. J’avais vraiment eu mal. Après, c’est le foot, la saison est passée, c’est une nouvelle saison, et on n’a plus le temps de penser à ce qui s’est passé la saison précédente. Je ne pense pas que, non… En tout cas, moi, je n’y pense plus en tout cas. Bien sûr que ce match contre Rodez de la saison dernière, c’est derrière ».

    Retranscription Girondins4Ever

    Du lundi au vendredi, sur France Bleu Gironde, retrouvez l’émission 100% Girondins, animée et présentée par Dominique Bourdot à partir de 18h30. Vous pouvez retrouver le podcast de l’émission quelques minutes après la fin de celle-ci : ICI.