Yon Ecenarro : “C’est vraiment un match charnière. C’est la réalité”

    Sur France Bleu Gironde, dans l’émission 100% Girondins, le consultant pour la radio, Yon Ecenarro, a évoqué la possibilité pour Bordeaux de l’emporter trois fois de suite en Ligue 2 face à Troyes ce samedi.

    « Ça lancerait carrément l’équipe. On le sait, l’équipe a besoin de confiance, et les résultats ça aide énormément à retrouver la confiance. On a beau dire ce qu’on veut. Le Virage Sud a annoncé que c’était la fin de la grève, donc ça va pousser fort. Concrètement, dans ce championnat tellement resserré de Ligue 2, si on regarde derrière, si on gagne face à Troyes, on les met à huit points de nous, et on est certains qu’en gagnant on gagnera à minima une place au classement vu qu’il y a Rodez et Concarneau qui s’opposent. Et on peut même gagner trois places en passant à la 10ème place… Effectivement, ça peut être top, et un match bascule… Surtout que quand tu gagnes, que tu es sur une série positive, tu as très vite envie de jouer, et il se profile juste derrière le match de Quevilly dès mardi. Cela peut être vraiment un match charnière pour nos Girondins de Bordeaux ».

    Est-ce qu’Albert Riera repartira avec le même groupe ?

    « Je pense. On n’a pas trop vu de progression dans le jeu à proprement parler, mais la progression on la voit au classement… On gagne ce match à l’arrache mais il y a deux-trois journées on ne l’aurait pas gagné. Oui, il va repartir sur les mêmes bases, il n’y a pas plus de blessés. Il n’y a pas de raison de changer une équipe qui gagne. Je pense qu’il ne changera pas trop l’équipe, avec des ajustements, comme Vital Nsimba qui risque de redevenir titulaire. Il n’y a pas de raison, c’est vraiment un match charnière. C’est la réalité ».

    Retranscription Girondins4Ever

    Du lundi au vendredi, sur France Bleu Gironde, retrouvez l’émission 100% Girondins, animée et présentée par Dominique Bourdot à partir de 18h30. Vous pouvez retrouver le podcast de l’émission quelques minutes après la fin de celle-ci : ICI.