Lors de sa conférence de presse de présentation, David Guion, a parlé de ses liens avec le City Group, avant de s’engager avec Troyes.

« J’ai présenté mon projet de jeu au City Group, j’ai beaucoup apprécié les conversations que l’on a eues. On s’est très rapidement entendu. C’est une chance d’avoir un groupe qui soutient comme ça l’ESTAC. Entre leur grande expérience, leurs grandes compétences du très haut niveau, pouvoir s’appuyer sur des ressources et des compétences, c’est exceptionnel pour moi, le club, et le staff. Ça ne peut que nous tirer vers le haut car ils connaissent l’exigence du très haut niveau. C’est un chemin sur lequel on doit aller ».

Se sent-il très attendu ?

« Oui, je sens qu’il y a besoin d’un leader, d’un garçon qui montre une vision, d’un coach qui amène de l’ambition dans ce groupe ; je l’ai senti très rapidement. Au quotidien et encore aujourd’hui, je le ressens, et je pense que ça va être de plus en plus intéressant au fur et à mesure que les semaines vont passer. Il faut que je puisse véhiculer cette ambition. Mais pour l’instant, il faut être réaliste. Aujourd’hui, l’ESTAC n’est pas tirée d’affaire. Sur les deux derniers matches, il y a eu un état d’esprit exceptionnel, mais on est tout proche de cette zone de relégation. La Ligue 2 est aussi un championnat très très exigeant, je la connais parfaitement. Ce n’est pas facile… Il faut vite s’échapper de cette zone-là et tant qu’on n’aura pas 45 points, je vous avoue que je ne serai pas tranquille ».

En tout cas, si ce n’est pas le climat, Troyes a visiblement un avantage sur Bordeaux.

« Je ne connais pas très bien Troyes, mais je sais que c’est un centre-ville très agréable. Ce que j’apprécie déjà c’est qu’il n’y a pas de bouchons, par rapport à Bordeaux (sourire). Mais il y a un bouchon dans la ville, c’est ça, j’ai bien compris ? Et on m’a dit qu’il flalait surtout visiter ce bouchon-là. Et puis, je fais prendre évidemment connaissance de cette ville, m’y inscrire le plus rapidement possible ».

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