[CdF] Le point médical des Girondins avant Angoulême, cascade d’absents et d’incertains

    Ce samedi, les Girondins de Bordeaux changent d’air, ou du moins de compétition. En effet, le Club au Scapulaire, et ses “joueurs”, se déplacent à Angoulême pour le compte du 8ème Tour de Coupe de France. Faisons un point sur les “forces” (ahah) bordelaises.

    Deux joueurs suspendus

    La commission de discipline a rendu son verdict hier soir concernant les deux expulsés des deux derniers matches des Girondins : Jacques Ekomié et Gaétan Weissbeck. Le premier prend deux matches et en a donc déjà purgé un, face à QRM. Le second a fini son année de football puisqu’il est suspendu pour trois rencontres. Bonne année 2024 en tout cas. Clément Michelin, ayant écopé d’un match pour avoir trois cartons jaunes en moins de dix matches, sera lui suspendu face à Saint-Etienne.

    Les absents pour blessure

    On annonçait Karl-Johan Johnsson juste pour reprendre face à Angoulême. L’international suédois, touché au quadriceps, n’est pas remis. Espérons que ce ne sera pas Cagade Man dans les buts. Grégoire Swiderski, l’autre portier des Girondins, est touché au poignet, et n’est pas non plus disponible.

    « Kalle revient aujourd’hui avec le groupe, on va voir s’il rentre ou pas, si on prend le risque ou pas. On va voir » (Albert Riera)

    Mathias De Amorim, qui a été opéré du genou droit avec succès après une lésion méniscale, est toujours en soins.

    Emmanuel Biumla souffre d’une lésion à l’ischio-jambier, des suites d’une blessure contractée avec la réserve.

    Stian Gregersen était malade depuis quelques jours. Il est possiblement de retour dans le groupe.

    « Stian est encore un peu malade, il est incertain, mais peut-être qu’il sera là » (Albert Riera)

    Aliou Badji vient d’être père, mais on n’en sait pas plus sur sa présence, ou non.

    Nouveau blessé, avec Danylo Ignatenko, qui est en fait sorti à l’heure de jeu car il était blessé.

    « J’ai fait le changement à Quevilly-Rouen parce qu’il s’était touché l’adducteur ». (Albert Riera)