Albert Riera parle des tensions avec le banc d’Angoulême, et de la titularisation de Rafal Straczek

    Sur Charente Libre, l’entraineur des Girondins de Bordeaux, Albert Riera, a évoqué les tensions avec le banc adverse d’Angoulême.

    « Non, c’est seulement une situation où je parlais à Rafa(l Straczek), et le banc d’à côté m’a sifflé. Je parlais avec mon gardien… Jamais j’aurai un problème avec un banc (adverse), c’est très rare. Il y avait une provocation de leur part, mais j’ai essayé de ne pas rentrer dedans… S’il y a des petits commentaires, comme d’hab, si tu me cherches, tu vas me trouver, mais à la fin le foot est un jeu, et le plus important c’est ce qui se passe sur le terrain… C’était une situation comme ça… Je parlais avec mon gardien, ils m’ont sifflé, alors que je parlais seulement avec mon gardien… Après, je ne veux pas parler des autres, je préfère parler de mon équipe, de ce que je peux contrôler. Les autres, ils font ce qu’ils veulent… Je ne veux pas faire la course à la popularité ».

    Puis le coach bordelais évoqua les raisons de la titularisation de Rafal Straczek.

    « Si je suis satisfait de ce qu’il a montré ? Clean-sheet, hein ?! (sourire) Rafa, c’est notre gardien. Kalle (Johnsson), jusqu’à ce qu’il soit blessé, a fait de bons matches. Je vais choisir la semaine prochaine mais aujourd’hui c’était mon choix. Il a fait un clean-sheet, on ne peut rien dire. Le match d’aujourd’hui n’était pas fait pour faire une partie magnifique au pied. Il a fait ce qu’il fallait faire. J’ai choisi Rafa pour ce match, on verra pour la prochaine fois (sourire) ».

    Retranscription Girondins4Ever