Clément Carpentier : “Gilbert Montagné fera toujours mieux que les attaquants bordelais”

    (Photo by Loic Baratoux/FEP/Icon Sport)

    Cet après-midi les Girondins de Bordeaux jouaient au Matmut Atlantique, face à l’AS Saint-Etienne ce samedi à 15h, pour le compte de la 18ème journée de Ligue 2. L’occasion pour les journalistes gravitant autour de l’actualité des Girondins de Bordeaux, de livrer leur analyse du match face à Saint-Etienne.

    Nous commençons par Clément Carpentier, pour France Bleu Gironde, qui évoque un chanteur et un ancien attaquant bordelais :

    “Pour le mercato hivernal, je demande le dénommé Gilbert Montagné aux Girondins! Grand attaquant bien connu des championnats européens… il fera toujours mieux que les attaquants bordelais  ! Si Maja était encore là, il y a 4-0.”

    Yon Ecenarro, consultant pour la radio, a aussi donné son ressenti.

    “Une première mi-temps ronronnante, une seconde plus intéressante niveau intensité mais sans efficacité offensive comme depuis le début de saison. On a tenté d’aller chercher la victoire, avec un public dédié à son équipe, mais il manque cette finesse/sécurité technique systématiquement à la fin pour faire d’une action un but. 18ème journée, toujours 17ème, et à ce niveau ce n’est pas qu’un manque de réussite. De confiance sûrement mais surtout un manque cruel de talent. Ce point du nul ne vaudra rien sans victoire à Dunkerque mardi. Donc sortons le bleu de chauffe, mettons déjà de l’intensité, du rythme dès les premières minutes. Fini de jouer une mi-temps sur deux. Ou alors laissons tomber […] À quoi voit-on que les Girondins sont “malades” ? L’an passé l’équipe avait 2 axes forts: une défense de fer, plus un jeu de transition rapide/contre très fort. Cette saison, après 18 journées (quasi mi-championnat) on n’arrive toujours pas à dégager un seul axe fort chez nos Girondins”

    Mathias Edwards, journaliste so foot, livra quelques mots.

    “Être aussi nul que les Girondins à la finition tient de la performance”.

    Nicolas Le Gardien, lui, évoqua le mal bordelais : l’inefficacité.

    “C’est surréaliste…”.