Lenny Pirringuel, le mercato, le poste de gardien n°1, jamais de joueurs à l’écart… Les réponses d’Albert Riera

    Ce matin en conférence de presse, l’entraineur des Girondins de Bordeaux, Albert Riera, a répondu à divers sujets. Au sujet du mercato, le coach bordelais a assuré qu’il ne mettrait jamais un joueur de côté pour le pousser à partir, ou s’il ne comptait pas sur lui. Et le nom de Lenny Pirringuel a été prononcé en exemple.

    « Non, ça non. Dans beaucoup de réunions que l’on fait, presque deux par semaine, j’aime bien savoir ce qu’ils pensent, avoir leur retour, je les laisse parler. Je dis toujours une chose. Avant d’être ce que l’on est dans notre profession, on est des personnes. Et ça, le respect doit être toujours là. Par exemple, pour Lenny (Pirringuel), j’avais dit que c’était un joueur qui ne jouait pas dans l’ex-club (Pau), que c’est un joueur qui n’a pas de rythme et ça c’est logique, mais c’est notre joueur… Il faut l’aider ! C’est notre joueur, et le traitement est le même que les autres, évidemment. Donc non, écarter un joueur, ça jamais. J’ai été joueur, et c’est quelque chose de dur. Mais par contre il y a la décision sportive : soit tu joues, soit tu ne joues pas, c’est autre chose. Mais au niveau personnel, non ».

    Le mercato

    En tout cas, il ne sent pas ses joueurs perturbés par le mercato, et lui ne l’est pas non plus car il faut certaines conditions pour recruter.

    « Pfff… On est très occupés par le résultat. Je ne pense pas trop non, mais parce qu’aussi on connait notre situation. On doit attendre de sortir des joueurs pour en rentrer. Si on avait plus de possibilités, je serais peut-être plus concentré sur le mercato, mais comme je n’ai pas de possibilités, je me concentre sur mes joueurs et la possibilité que j’ai ».

    (Photo by Anthony Bibard/FEP/Icon Sport)

    Qui en gardien numéro 1 ? Suspense…

    Pas de réponse à cette question pour l’instant, réponse samedi.

    « Si Karl-Johan Johnsson sera le gardien dans les buts pour la seconde partie de saison ? Je ne veux pas donner davantage à l’adversaire (rires). Et en plus, vous le savez, je ne donne pas l’équipe à mon équipe deux ou trois jours avant. Je ne la donne même pas la veille normalement, mais le jour même, parce que je veux que tout le monde se sente important, que tout le monde sente qu’il peut jouer. C’est une chose importante pour moi. Donc je ne peux pas vous dire els choses avant mes joueurs ».

    Retranscription Girondins4Ever