Souleymane Diawara : “Certains étaient pires que moi, mais comme ils sont devenus entraîneurs, on ne va pas les griller, hein ?”

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    Dans L’Equipe et Parole d’Ex, l’ancien défenseur des Girondins de Bordeaux, Souleymane Diawara, a, comme a symbole, répondu à la fameuse question du joueur le plus fêtard avec lequel vous avez évolué.

    “Certains étaient pires que moi, mais comme ils sont devenus entraîneurs, on ne va pas les griller, hein ? (il rit). Mais je peux citer Brandao, à Marseille, qui m’impressionnait parce qu’il sortait en semaine alors que moi j’avais pour règle de ne sortir que le week-end, après les matches. Les autres joueurs ne s’en rendaient pas toujours compte, mais moi je captais toujours Brandao, à l’entraînement, quand il était sorti la veille : entre fêtards, il y a des regards qui ne trompent pas…”.

    C’est ainsi qu’il donna la plus belle fête à laquelle il a pris part.

    “Celle qui a suivi la victoire en Coupe de la Ligue, avec Sochaux, en 2004. Le président (Jean-Claude) Plessis, avec son cigare, nous a tous emmenés au Duplex, une boîte située près de l’Arc de Triomphe. Je connaissais à peine Paris et là je suis devenu fou en découvrant des filles sapées comme jamais, l’alcool à volonté, la classe de l’endroit… Moi, j’étais habitué à la Belle Époque (une boîte de nuit qui était située à Mathay, près de Montbéliard, dans le Doubs), ce n’était pas le même standard disons. Donc, tout est de la faute de Plessis (il sourit). C’est lui qui m’a fait goûter aux nuits parisiennes !”.