Jean-Philippe Thibaudeau : “On sait que depuis la saison dernière, face à Bordeaux il y a un petit plus…”

    Sur France Bleu Gironde, dans l’émission 100% Girondins, Jean-Philippe Thibaudeau, journaliste France Bleu RCFM à Bastia, s’est exprimé avant d’aborder ce match de la 32ème journée de Ligue 2. Les Girondins de Bordeaux recevront l’équipe du Sporting Club de Bastia

    A quel type de match s’attendre ? C’est la grande question qu’on se pose. Depuis le début de saison, on a l’impression qu’après 31 journées, on ne connaît toujours pas les capacités de cette équipe, sa philosophie de jeu, son état d’esprit et c’est ça le plus grave. Face à Dunkerque, on n’a pas forcément vu sur le terrain, une équipe qui avait envie de se sauver. L’état d’esprit, c’est ce qui caractérise le Sporting Club de Bastia depuis tant d’années. On a vu des joueurs qui subissaient, des joueurs amorphes. Il n’y a pas vraiment eu d’esprit de rébellion du côté du Sporting, contrairement à ce qu’on avait vu il y a une semaine auparavant du côté de Laval. Les bastiais s’étaient imposés deux buts à un. Là on a vraiment vu une équipe qui allait de l’avant, qui s’est battue avec de la solidarité. Il y a eu de l’envie. Difficile de vous dire aujourd’hui quelle sera véritablement l’image que va renvoyer cette équipe du Sporting du côté de Bordeaux. On sait que depuis la saison dernière, face à Bordeaux il y a un petit plus on va dire. Ça s’est un petit peu chamaillé la saison dernière lors des deux matchs. Ça s’est un petit peu chamaillé cette saison aussi à domicile donc ça peut être une motivation supplémentaire pour cette équipe du Sporting. Mais c’est vrai qu’il est difficile aujourd’hui de dire véritablement comment va se comporter cette équipe, et c’est bien là le problème après 31 journées.”

    Retranscription Girondins4Ever

    Du lundi au vendredi, sur France Bleu Gironde, retrouvez l’émission 100% Girondins, animée et présentée par Dominique Bourdot à partir de 18h30. Vous pouvez retrouver le podcast de l’émission quelques minutes après la fin de celle-ci : ICI.