Jérémy Ménez : “C’était beaucoup de nonchalance. Je ne le faisais pas exprès, c’était comme ça, c’était ma nature”

    Dans Oui Hustle, et chez Le Chairman, l’ancien joueur des Girondins de Bordeaux, Jérémy Ménez, s’est souvenu de son niveau lors de sa jeunesse. Très vite, il compris qu’il était souvent meilleur que ses coéquipiers.

    « Dès jeune, on voyait que j’étais fort, que j’avais plus de qualités que les autres. Même avec les grands, je pouvais jouer normalement. C’était un peu ça, et même après quand je suis arrivé en club, j’étais déjà un des plus forts. A chaque fois en fait, c’était ça. Donc tu te rends compte, dans chaque équipe et catégorie que tu passes, tu es souvent le plus fort, donc c’est des signes et petit à petit tu te fais ».

    D’ailleurs, il sut qu’il allait être pris lors de sa détection à Sochaux.

    « A 14 ans, il y a une détection pour Sochaux, et dès le premier jour je savais que j’allais être pris. Ça s’est passé à chaque fois comme ça »

    L’ancien bordelais nie cependant l’arrogance qu’il pouvait dégager.

    « Oui, il y avait beaucoup d’insouciance, c’est ce qui a fait ma force, je pense. De l’arrogance ? Non, c’était beaucoup de nonchalance. Je ne le faisais pas exprès, c’était comme ça, c’était ma nature en fait. Mais c’est vrai que beaucoup de gens me l’ont dit que j’étais nonchalant, mais je ne le faisais pas exprès. Mais l’insouciance, c’est ce qui a fait ma force. Quand je me retrouve à intégrer l’équipe professionnelle (de Sochaux) à 16 ans, et c’est un rêve de gosses… Je vouvoie les pros quand j’arrive, c’était un rêve ».

    Retranscription Girondins4Ever