Jérémy Ménez : “Tous les six mois, je changeais de voiture. C’était mon kiff de jeunesse. Il y a zéro regret”

    Dans Oui Hustle, et chez Le Chairman, l’ancien joueur des Girondins de Bordeaux, Jérémy Ménez, a expliqué qu’il n’a pas fait énormément de folies étant jeune. En revanche, il avait un fort attrait pour les belles voitures.

    « Moi, c’était les voitures… Tous les six mois, je changeais de voiture. C’était mon kiff de jeunesse. On a été heureux, on ne va pas faire les misérables, mais ma mère avait une 205, une Clio, une Twingo… On était bien, mais c’était des voitures très modestes. Alors, quand on voyait toutes ces belles voitures, on voulait les acheter, c’est normal. J’en ai profité. C’était les voitures. Mais maintenant, les voitures, je m’en fous. Ça n’a plus d’importance. Mais j’ai kiffé ma jeunesse. J’avais envie de le faire, il y a zéro regret ».

    En tout cas, des suites de certaines affaires ou comportements, l’ancien bordelais fut très vite mis dans une case en France.

    « En France, j’ai l’impression que dès que tu fais une erreur, tu es vite catalogué, tu es vite mis dans une case. Et pour te faire sortir de cette case mon ami, c’est compliqué… Même moi, on m’a mis dans une case. Quand on ne me connait pas, c’est soit on m’aime bien, soit on me déteste. Une fois qu’on me connait, la bascule change directement. C’était un peu ça pour moi. Il faut faire avec, c’est comme ça. Par exemple, jamais je ne me permettrai de critiquer un joueur, parce que j’ai été joueur. On a le droit de ne pas être bon, ça arrive à tout le monde. Il peut y avoir de bonnes critiques si elles sont constructives, mais la critique gratuite, pour nuire, ou juste mal parler, je n’aime pas ça. Il faut toujours essayer d’être positif, tu attires la positivité comme ça ».

    Retranscription Girondins4Ever