Des nouvelles de Tom Dominguez, passé par la formation des Girondins, et aujourd’hui au Portugal
Il y a parfois des destins qui se jouent ailleurs qu’aux Girondins. Cela peut être vis-à-vis du contexte à l’instant T du Club, selon le niveau que l’on peut avoir, et sur décision des formateurs. Chacun a, comme pour à l’inverse la signature d’un premier contrat professionnel, une responsabilité quant à la suite de chaque jeune qui quitte le centre de formation. Des décisions que l’on sait difficile à prendre, comme à recevoir.
Mais quoi qu’il en soit, ce n’est pas parce qu’on ne réussit pas aux Girondins de Bordeaux, pour une des raisons citées ci-dessus, que l’on n’a pas un avenir… ailleurs. C’est par exemple le cas de Tom Dominguez, qui est de la génération 2006. Ce latéral droit est passé par la formation bordelaise de 2014 à 2016, avant d’avoir la confiance au niveau régional à Mérignac-Arlac, et surtout de continuer à progresser avec notamment la sélection de Nouvelle-Aquitaine, preuve qu’il n’était pas sorti des radars. C’est d’ailleurs lors d’une année en U17 nationaux, au FC Marmande, qu’il confirma ses qualités et la confiance qu’on lui a portée, en jouant l’intégralité des 26 matches, en qualité de titulaire. Il prit alors la direction du Portugal après des essais fructueux, et choisit le SC Leixoes en U19 Elite, tandis que l’équipe première évoluait en deuxième division. Toujours pas de plafond de verre pour le latéral droit qui, cette année, a été recruté par le club de première division portugaise, , l’AVS Vila Da Aves, avec qui il évolue en U19 National.
Passionné et surtout déterminé à faire du football son métier, il a pour objectif d’intégrer la réserve, puis ensuite d’avoir sa chance en professionnel.
L’on sait que les jeunes au la formation font parfois une croix sur une partie leur jeunesse ou de leur adolescence, n’hésitant pas à quitter le cocon familial pour atteindre et réaliser leurs rêves. C’est le cas pour Tom, qui a quitté son pays pour réussir à l’étranger, alors « qu’il habitait à 2 kilomètres du Haillan » nous souffle-t-on. Bien évidemment, personne n’est aujourd’hui capable de prédire s’il réussira à devenir professionnel, mais il met toutes les qualités pour y arriver, à savoir le travail, le sérieux, la détermination. Certainement pour n’avoir aucun regret.
Quoi qu’il en soit, nous lui souhaitons de continuer à tenter de vivre ses rêves, et de tout donner pour ne pas avoir de regrets. Un jour, qui sait, il pourra sonner à la porte de son club de cœur, chez qui il aurait assurément souhaité réussir.