Sur France Bleu Gironde, dans l’émission 100% Girondins, partenaire de Girondins4Ever, Frédéric Roux a parlé de l’importance de définir une hiérarchie chez les gardiens de but.

« Si on veut polluer son vestiaire, la meilleure chose c’est de ne pas définir de hiérarchie des gardiens, exactement. On a vu pu voir par le passé que lorsque cette hiérarchie n’est pas clairement définie, ça peut poser problème non seulement au sein de la team gardiens de but, mais aussi au sein du collectif. On a besoin de repères, les joueurs ont besoin de jouer toujours avec le même gardien derrière eux. Et surtout, au niveau des gardiens de but, cela donne une sérénité pour le titulaire, et pour la doublure aussi qui sait exactement pourquoi il est là. Je l’ai vécu aux Girondins aussi donc je sais de quoi je parle. Je savais très bien que lorsqu’Ulrich allait être blessé ou suspendu, j’allais intervenir vraiment temporairement et que j’allais retrouver ma place de doublure une fois cet intérim assuré. Mais je crois que c’est une chose indispensable à notre poste pour le bien de tout le monde en tout cas »

Est-ce une bonne chose de l’établir par compétition aussi ?

« C’est ce que j’essaye de défendre aussi. Lorsque j’intègre un club, je définis de suite la hiérarchie. J’essaye de faire quand même participer la doublure à la compétition en lui donnant la Coupe nationale, et encore faut-il qu’il le mérite bien évidemment. Mais généralement, c’est ce qu’on fait pour lui donner du temps de jeu, pour entre guillemets le récompenser aussi de son investissement. En général ça fonctionne plutôt bien. Encore une fois, je ne vais pas répéter mon exemple car en 2002, Elie Baup m’avait fait confiance du début à la fin en Coupe de la Ligue. Même en finale, il n’avait pas du tout changé cette hiérarchie sur le dernier match ».

Retranscription Girondins4Ever

Du lundi au vendredi, sur France Bleu Gironde, retrouvez l’émission 100% Girondins, animée et présentée par Dominique Bourdot à partir de 18h30. Vous pouvez retrouver le podcast de l’émission quelques minutes après la fin de celle-ci : ICI.