Dorian Bercheny : “Il y a toujours ce petit détail, ce truc où on tourne, on essaie de faire la dernière passe parce qu’on a peur, on joue avec le trouillomètre à zéro”

    Sur France Bleu Gironde, dans l’émission 100% Girondins, Dorian Bercheny, journaliste pour la radio, a donné son sentiment vis-à-vis de l’interview de Gérard Lopez avant le coup d’envoi de Bordeaux – Montpellier, sur Prime Video.

     

    “La crise du sportif on l’a évidemment devant les yeux c’est une certitude. Bordeaux qui n’a pas fait un seul clean-sheet depuis le début de la saison, qui n’a pas de socle. Quelque soit le sport collectif, il est important d’avoir des fondations solides. Et là clairement les fondations solides n’y sont pas du côté des Girondins, ça c’est une chose. C’est vraiment sportif mais il y a tous les à côtés qui sont hyper surprenants. Je débarque un peu au sein du club depuis quelques jours et c’est vrai que ces situations là me paraissent assez ubuesques. Est-ce qu’ils ont vraiment confiance ? oui, je suis convaincu. Est-ce que réellement ils se donnent les moyens tous autant qu’ils sont au niveau des acteurs du club, de rebondir ? Cela paraît compliqué… Et l’image qui peut finalement faire le lien et la passerelle entre le sportif, et ce qui peut se passer au niveau des fondations et de la structure du club, c’est cette seconde mi-temps. Ils ont tourné en rond pendant 45 minutes. Ils ont eu des situations énormes. Et quand ça ne veut pas, ça ne veut pas. Il y a toujours ce petit détail, ce truc où on tourne, on essaie de faire la dernière passe parce qu’on a peur, on joue avec le trouillomètre à zéro. Et il n’y a personne qui ose à un moment, mettre le gros pointu décisif qui va permettre de relancer cette partie. Ca finalement c’est la passerelle aussi bien sur le sportif que sur les fondations du club

     

     

    Retranscription Girondins4Ever