Plan de départs volontaires actif jusqu’au 25 février prochain, un accompagnement pour ceux qui souhaitent quitter les Girondins

    Comme rapporté hier, 24 personnes (et non plus 26) devront quitter le club au scapulaire, de leur propre volonté, ou par des licenciements à venir. Dans un mail interne que nous nous sommes procurés, nous vous confirmons que le plan de départs volontaires est toujours actif jusqu’au 25 février, avant que des postes soient ensuite supprimés. Sur ces 24 emplois, il s’agit évidemment du secteur commercial qui sera le plus réduit, à hauteur de 12 employés (réduisant le nombre total dans ce secteur à 6 salariés), majoritairement ramenés par Antony Thiodet. On y compte aussi deux intendants, un assistant de direction, un comptable, un contrôleur de gestion, un poste affilié à la création, un éducateur, une personne de l’événementiel, un formateur interne, une personne de la logistique, et encore deux du sponsoring. Pas de suppression au poste sécurité, alors qu’il existe toujours le doublon Arnaud Poupard/David Lafarge, alors qu’évidemment le sécurité au stade n’est vraiment pas d’actualité et ne le sera pas dans les semaines/mois à venir.  A défaut de volontaires suffisants, nous serions donc contraints d’envisager des licenciements au regard des critères légaux et selon une pondération qui sera discutée avec les élus du CSE est-il clairement expliqué noir sur blanc.

    Dans cette note, la direction assure que “les candidats au départ bénéficieront de leur indemnité de licenciement, calculée sur la base légale ou conventionnelle (selon le plus favorable), ainsi que de l’ensemble des mesures prévues dans le cadre du projet de PSE”. Les Girondins de Bordeaux promettent un accompagnement avec notamment un cabinet de reclassement LHH pour aider à la création d’un nouveau projet professionnel, d’une reconversion, ou encore d’un départ à la retraite. Deux numéros Vert sont aussi disponibles pour les salariés : un espace information conseil, mais également une cellule d’écoute psychologique.

    Une note glaçante, qui nous met des frissons dans le dos. Plus de place à la rigolade, c’est bel et bien du concret.