Ce qu’il faut retenir de l’interview de Gérard Lopez à Sud Ouest

    ThierryBreton/Panoramic PUBLICATIONxNOTxINxFRAxITAxBEL

    Après toutes les décisions prises par la direction des Girondins de Bordeaux sorties dans la presse, l’on attendait surtout une communication officielle, qu’elle soit par le biais d’un communiqué ou d’une interview. Le but étant de confirmer déjà ces décisions, de justifier également car certains joueurs comme Mehdi Zerkane ont nié les « accusations ». Cette communication officielle eut donc lieu par voie de presse, par l’intermédiaire de Sud Ouest et de Gérard Lopez, le Président et propriétaire du club.

    Si les joueurs ont été visés particulièrement ces derniers jours, Vladimir Petkovic n’a pas été épargné en interne, étant mis face à ses responsabilité. L’ex-coach de La Nati a toujours la confiance de Gérard Lopez, mais il a « la responsabilité d‘un coach », autrement dit une responsabilité importante, lui qui n’a gagné que 3 rencontres de Ligue 1. Le Président nia aussi la piste sortie par Footmercato, à savoir celle de Joao Sacramento.

    Le Président se justifia également des mises à l’écart de Mehdi Zerkane et Paul Baysse. Pour le premier, il s’agit d’un problème de « comportement ». Pour le second, il ira faire quelques matches avec la réserve et il ne s’agit pas d’un « dossier complètement fermé ». Concernant Laurent Koscielny, tout a été expliqué hier également dans Sud Ouest.

    Le but est tout cas financier même si Gérard Lopez s’en défend, mais également de restructuration. Le constat est, comme lors des dernières années, lié à la mentalité sur le terrain mais également au sein du club. « J’avais vu les joueurs à Orléans. Je n’avais pas dit que le Club Med, c’était fini, mais dans l’idée, ce n’était pas loin. J’ai observé des moments de rébellion, mais les mots n’ont pas suffi. Donc on passe à une autre phase ».

    Le dirigeant compte enfin sur le mercato pour corriger le tir, et régénérer le groupe. « On arrivera à faire ce qu’on veut faire tout en restant dans les clous de la DNCG », assure t-il. Mais aussi sur des partenaires financiers capables d’injecter à l’avenir de l’argent et donc de hausser les ambitions et l’évolution du club ? « On a été approchés par quatre ou cinq groupes, j’ai discuté avec deux ou trois. Je ne sais pas si c’est le bon moment ».

    Tout ceci n’est qu’un résumé avec peu de propos. Propos plus intéressants et évidemment plus complets, sur Sud Ouest éditions abonnés ICI, et sur la version papier du jour.