Le reste des infos de la journée autour des Girondins (Lavaud, Soubervie, Maja, Pochettino…)

    Vous avez pu suivre toutes les informations et réactions concernant les Girondins de Bordeaux aujourd’hui, mais il y a eu plusieurs petites informations que nous n’avons pas pu traiter. Nous allons vous faire un récapitulatif de cette actualité “autour des Girondins”.

    Pour Sud Ouest, l’ancien joueur des Girondins de Bordeaux et de Trélissac, Jean-Michel Lavaud, s’est souvenu de son passage au FCGB. « Gernot Rohr m’a contacté. Ça ne se refusait pas. L’effectif était juste énorme, exceptionnel, avec Fargeon, Gimenez, Dogon, qui étaient restés, etc., et des jeunes comme Dugarry et Lizarazu Je n’ai pas beaucoup joué mais j’ai un grand souvenir : le Bordeaux-Perpignan à Lescure où j’ai remplacé Duga [le premier match de la saison, le 20 juillet 1991, 2-1]. Et puis il y a eu la fête de la remontée. On n’a pas beaucoup dormi ! ».

    Passé par le centre de formation des Girondins de Bordeaux et aujourd’hui à Bergerac, Anthony Soubervie, dans Sud Ouest, s’est exprimé sur ce qui lui a manqué pour devenir professionnel. Pour rappel, Gernot Rohr, qui le connaissait des Girondins, l’a même fait venir à Nice… « J’ai passé trois ans à Nice, j’ai fait des bancs en Ligue 1, des matches amicaux. S’il doit y avoir un regret, c’est de ne pas avoir mis toutes les chances de mon côté pour jouer en Ligue 1. Il m’a manqué du sérieux. Sur la Côte d’Azur, c‘est compliqué ».

    S’il n’a plus été décisif depuis un petit moment maintenant, Josh Maja est toujours parmi ceux qui le sont le plus depuis le début de la saison. L’attaquant bordelais, au cumul, en est à 10 en termes de buts et passes décisives (7 et 3). Il est le troisième joueur le plus décisif de Ligue 2.

    Dans Marca, l’ancien défenseur central bordelais, Mauricio Pochettino, est revenu sur son passage en tant que coach au Paris Saint-Germain.

    “Ce qui a été le défi le plus difficile lors de mon passage à Paris ? Ce que je pense, c’est qu’un modèle de club d’équipe a été créé. Un modèle de conception d’un tel modèle était un défi très difficile, avec de nombreuses inconnues. Toutes ces personnalités, avec ce talent, dans une équipe n’est arrivée qu’à Paris. Les circonstances dans lesquelles ce modèle a été créé ont nécessité du temps. Des joueurs venus de la Copa América, de l’Eurocup, des blessures, une nouvelle ville, une culture… on s’est retrouvés avec 9 ou 10 joueurs qui étaient capitaines de leurs équipes. Je pense que ce fut une expérience incroyable qui ne se reproduira plus jamais dans le monde. Maintenant, avec un an d’expérience, les joueurs savent déjà comment se comporter, quels espaces attaquer… C’était une équipe dans laquelle les joueurs les plus talentueux arrivaient plus tard et jusqu’en janvier, février il n’était pas possible de s’entraîner trois jours. Que d’être l’entraineur du PSG soir le poste le plus ingrat ? Totalement d’accord. Tout le monde sous-estime le travail du coach. Quand nous gagnions, c’était grâce au talent individuel des joueurs, et quand nous perdions, c’était la faute de l’entraîneur”.