Sur AquiTV, Bruno Fievet a assuré que le Comité 1881, initié par Gérard Lopez aux Girondins de Bordeaux, était utile pour le Club dans plusieurs domaines. L’homme d’affaires donna les axes de travail qui le concernent.

« Des idées, il y en a. Il y a même déjà des idées qui sont en cours de développement, et même de finalisation pour certains projets. On est séparés sur plusieurs groupes, moi je travaille sur les partenaires. Je travaille sur le plan RSE qui est quelque chose de très important. Un club de sport, c’est de la visibilité, de la notoriété, et un plan social va permettre justement d’intégrer les jeunes, l’économie, l’écologie, le mieux vivre, le mieux manger et le mieux-être. Il n’y a rien de mieux qu’un club comme les Girondins pour promouvoir ça. Ce sont des sujets sur lesquels on travaille déjà. Sylvie Pépin fait un gros travail là-dessus. On amène nos idées, notre réseau, la communication. Après, il y a plein d’autres sujets qu’on aimerait développer, mais on ne peut pas tout faire, et surtout pas tout en même temps. Il faut que ce soit bien séquencé, et le club a aussi ses projets en interne qu’il doit faire avancer. On sait que la priorité de Gérard Lopez, c’est le sportif, et ça ne se discute pas. Mais il y a une personne qui est Thomas Jacquemier, qui a pris tous ces projets à cœur, et qui les fait avancer avec tous les moyens qu’il a : humains et financiers. C’est une industrie, une entreprise, et tout prend du temps. Il n’y a rien qui se fait en claquant des doigts, dans n’importe quel projet. Quand on reconstruit un club comme les Girondins, il faut aussi du temps, et le travail que l’on fait maintenant, on le verra peut-être dans 3 mois, 6 mois, un an, peu importe. Mais l’important est qu’on amène des idées, que le club soit réceptif à ces idées, qu’on soit de plus en plus intégré devant. Vous me connaissez, je n’y resterais pas si c’était pour ne rien faire ».

Retranscription Girondins4Ever