Sur ARL, le journaliste Christophe Monzie est revenu sur la victoire des Girondins de Bordeaux à domicile face au Paris FC (2-1).

« C’était une drôle de première mi-temps parce qu’on ne donnait pas l’impression majeure de maitriser ce match, mais par contre il y a eu l’effiacacité. On a raté des relances, on a failli se mettre e difficulté, et les parisiens ont failli être dangereux, mais à côté de ça on a même une balle de 3-0 par Ignatenko, peut-être aussi par Davitashvili… On a deux occasions d’alourdir le score paradoxalement, mais c’est surtout le réalisme qui a parlé […] Les Girondins ont du mal à faire un match complet, et on fait toujours le même constat de week-end en week-end. Ils ont eu de la réussite en première mi-temps, qu’ils n’ont pas eu en seconde parce que là, sur la seconde période, ils ont eu des balles de 3-0… Mais on ne peut pas dire qu’ils avaient maitrisé totalement la première. Le réalisme c’est une chose, la maitrise du jeu et la tenue du ballon en est une autre… […] Au final, l’essentiel est assuré. On s’en tire bien cependant parce que sur cette dernière action, avec la faute de Gregersen sur Guilavogui, je pense que s’il y a le VAR, il y a peut-être pénalty… La faute n’est pas volontaire, mais il y a contact. Merci le VAR de ne pas exister en Ligue 2. On l’emporte, mais on est passés à l’orange ».

Retranscription Girondins4Ever