Daniel Riolo: “Des mecs qui viennent s’entrainer, ils vont aux toilettes, il n’y a plus de PQ 🧻”

    Hier soir dans l’After foot de RMC, entre les débats sur le quart de finale de la Ligue des champions entre Barcelone et Paris, Daniel Riolo s’est fendu d’une anecdote cocasse sur notre club.

    En effet, il y aurait semble-t-il un “PQ Gate” aux Girondins de Bordeaux. Selon ses propos, certains fournisseurs du club Scapulaire ne seraient plus payés.

    Il dépeint la situation du club Bordelais qu’il qualifie de “club en perdition totale” et illustre ses propos par une anecdote concernant les commodités :

    “Quand tu vois les pauvres Bordelais, ce club qui est en perdition totale. Il se passe ce qu’il devait se passer, ce qui était annoncé depuis le début, la façon dont ça va mourir à petit feu, c’est que Gérard Lopez petit à petit ne paiera plus les gens. Donc là, il commence à ne plus payer certains fournisseurs, là ce sont les entreprises de nettoyage qui ne sont plus payées et l’anecdote à la fois dramatique et drôle. Ça devait être la semaine dernière, après forcément quand tu ne paies pas une entreprise depuis Noël, ceux qui font le ménage dans un club, ce n’est pas simplement faire le ménage, c’est tout le matériel qui va avec.”

    Il raconte la situation cocasse qui se serait déroulée au Haillan la semaine passée :

    Mercredi, panique à bord, aussi bien dans la section pro que chez les jeunes, il n’y a plus de PQ. Les jeunes du centre ils vont aux toilettes, il n’y a plus de PQ. Donc les mecs appellent l’entreprise, il faut vite en ramener. Voilà où en est un club professionnel comme Bordeaux, qui se retrouve avec des mecs qui viennent s’entraîner, ils vont aux toilettes, il n’y a plus de PQ, parce que Gérard Lopez ne paie plus les factures.”

    Des propos qui engagent le consultant RMC. Rappelons que depuis le début de l’année, Gérard Lopez a réinjecté de l’argent tous les deux mois, comme le soulignait L’Équipe.

    La direction, de son côté, a également fait le choix de ne plus communiquer jusqu’à nouvel ordre.

    Pour l’entreprise de nettoyage, selon nos informations, elle a effectivement arrêté ses prestations, n’étant plus payée depuis décembre.